Adel + Tomasz

ADEL :
disons que l'histoire a commencé à Nice en 1994. J'avais un profond besoin d'exprimer mes émotions. Ca commence par l'écriture, à gratter des pages et des pages d'anecdotes. Puis on se dit que ça serait pas mal de mettre tout cela en musique. Comme la vie est fait de rencontres, j'apprends mes premiers accords de guitare grace à deux potes (Mauro et Ludo) et ensuite tout s'emballe.

Arrivent les premiers groupes, premières répétitions et les premiers concerts. La seconde étape devient plus sérieuse avec des chansons plus abouties, et la complicité de Mauro. Ensemble, nous créons un duo deux guitares, deux voix. Cà s'appelera ZOLA, nom de la rue ou nous habitions à l'époque, car nous étions voisins. Nos rencontres deviennent plus intéréssantes avec les programmateurs des radios locales françaises. Un titre particulier "Trop tard", va taper dans l'oreille des programmateurs et des auditeurs. Les interviews radios s'enchainent alors. Le succès de "Trop tard" nous permettra d'être nominé aux VOILES D'OR de la FM et de faire une très belle rencontre avec un éditeur. En 2005, je rencontre deux supers mecs (Eric Codant aux claviers et Pierre Henny à la basse) avec qui l'on fera ensemble plus d'une centaine de concerts.

Depuis, mon entourage musical s'est agrandi et mes rencontres se sont enrichies.

Tout ces événements m'ont décidé à me lancer dans une nouvelle carrière solo sous mon propre nom: ADEL.

La suite est à venir...

TOMASZ :

…Une guitare, une voix, un Harmonica, des chansons…

Brailleur des caves parisiennes, c’est ainsi qu’il se définit, Tomasz
écume les pubs, clubs et caf’conc’ de la capitale depuis quelques années, en livrant une interprétation personnelle des morceaux qu'il reprend
(Noir Désir, Jeff Buckley, Mano Solo, Tracy Chapman, John Lennon, Bruce Springsteen, Manu Chao….), ainsi que ses propres compositions présentes dans son premier album « Novambre » disponible depuis Février 2008.


« Il se décrit lui-même comme le brailleur des caves parisiennes. Mais ce surnom ne lui rend pas completement justice. S’il braille c’est avec une voix puissante, transcandée par des sentiments torturés. Une claque pour l’auditeur. (…) Sa poèsie mélancolique, est incarnée par une guitare sensible et tactile, accompagnée de violoncelle contrebasse et chœurs. Boulversant »
Longueurs d’ondes (Juillet 2008)


« Seul en guitare, à brailler dans une langue (que Molière envierait) et qui se délie de ces délits de la vie, la voix nouée par les (res)sentiments
à la Cantat, Tomasz à le don de foutre les boules et de remuer les idées, comme Batlik ».
Lylo n° 261 (Avril 2008)

« Tomasz était un des secrets les mieux gardés des caves parisiennes (près de 500 concerts depuis 2001). Il se révèle enfin à un plus large public, grâce à un album sublime et très attendu (…) »
Hexalive (mars 2008)

« Une voix hors du commun qui réussit le triple pari d'interpréter des classiques du rock, de composer habilement et de fasciner la salle. A voir et à entendre absolument. Bonne soirée garantie. »
Billet reduc ( Février 2008)

Bercé par "les guitares rouges" ou "Djem" (groupes Rock polonais), il apprend la guitare à l'aide de methodes, puis désirant élargir ses connaissances musicales, prend des cours particuliers. Après plusieurs expériences au sein de différentes formations musicales, il parcours Paris et la province en solo, avec sa guitare et son Harmonica..


Avec plus de 500 concerts à son actif depuis 2001, il décide de s'écarter un tantinet du comptoir, histoire d'en verser quelques brèves..

Toutes les infos :
http://www.tomaszlive.com
www.myspace.com/tomaszlivecom